Pour les personnes recevant des immunoglobulines polyvalentes (par voie intraveineuse ou sous-cutanée), l'administration d’un vaccin à ARN est possible sans qu’il soit nécessaire de respecter un intervalle avant ou après la perfusion. En effet à l’heure actuelle, les quantités d’anticorps anti-SARS-CoV-2 contenus dans ces traitements sont négligeables et ne semblent pas susceptibles d'antagoniser le développement d'une réponse anticorps protectrice.
Source : SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), 15/02/2021.